Antoine Le Roux • Le Circus

Antoine Le Roux

Fondateur du Circus

La musique, comme dans un rayon de supermarché, c’est des gros industriels et des petits producteurs locaux. Entre circuit-court, développement de projets artistiques et promotion des talents locaux, Le Rayon t’invite à prendre le café avec ces indés qui font les choses bien ☕️

Aujourd’hui Le Rayon vous présente le Circus à travers l’oeil avisé de son fondateur Antoine Le Roux. Ce centre d’arts alternatifs situé à Capbreton dans les Landes a rejoint depuis peu le RIM.

On laisse Antoine vous raconter tout ça 👌

Salut Antoine, c’est quoi le Circus ?

photo des membres de la structure du circus

Le Circus a vu le jour en 2013. Ce centre d’arts alternatifs, appelé également “garage du monde libre” par ses aficionados, est devenu au fil des ans un acteur majeur de la culture capbretonnaise et landaise.

Au Circus, danseurs, musiciens, comédiens et artistes au sens large du terme, mais aussi amateurs d’arts, professeurs d’arts et élèves, se croisent, se rencontrent et interagissent au gré de l’emploi du temps de la salle. C’est donc un centre d’arts et spectacles proche de l’humain qui propose un accès régulier, qualitatif, immédiat, facilité, populaire et raisonné à la culture et aux arts.

Les tarifs maîtrisés, l’accessibilité aux personnes à mobilité réduite, l’éclectisme des artistes et la régularité, la diversité des événements assurent cette proximité. Il est le juste milieu entre grande salle et bar étriqué : le souci apporté à la qualité du matériel et des professionnels sont des gages de soirées réussies faisant vivre les musiques actuelles sur notre territoire. Il donne aussi aux musiciens pratiquant les musiques actuelles, les outils pour leur développement créatif et artistique : des cours, un studio, la production de contenus audiovisuels et des premières parties.

C’est un lieu de réflexion éthique et solidaire s’appuyant sur les partenariats construits avec les associations, producteurs locaux et prestataires, créant un véritable écosystème autour de ce lieu alternatif.

Qu’est-ce qui te donne envie de te lever le matin ?

 J’aime savoir quelle météo il fait, voir des paysages, échanger avec des gens positifs et faire avancer mes projets. La perspective d’un café est aussi une variable non négligeable.

À quoi ressemble une journée « type » dans ton métier ?

J’ai plusieurs casquettes mais quand je suis musicien, j’essaie d’avoir une journée ou je peux me relaxer et être le plus détendu possible avant d’arriver à l’endroit de mon contrat. De cette manière je peux être plus disponible pour les gens avec qui je vais travailler et plus efficace dans l’exécution de mon concert.

Quand je suis technicien j’arrive 2 heures avant l’heure du get in pour préparer ma console et me remémorer mes fiches techniques. Quand les groupes arrivent je prends un temps pour les accueillir et être disponible, je leur propose de se doucher ou de boire quelque chose car souvent les musiciens sont en tournée et ont besoin de faire un break. Je prends le temps aussi d’écouter les demandes que peuvent avoir les musiciens en arrivant si jamais ils n’avaient pas eu les infos avant (partage de backline, horaires, repas etc).

Ensuite je commence les balances, j’essaie d’y passer moins d’une heure par groupe et j’essaie d’être le plus efficace possible pour ne pas prendre d’énergie aux artistes. Ensuite je prends mon repas et j’assure la technique pendant le live. En étant vigilants aux éventuels regards ou demandes des musiciens pendant le live. J’aide les musiciens à ranger leur matos pour le changement de plateau en faisant attention à ne pas toucher un instrument ou autre sans avoir demandé l’autorisation à son propriétaire avant.

A la fin du concert je prends toujours un moment pour féliciter les musiciens et écouter leur retours. Ensuite je prends une petite pause pour manger et enfin je range tout le plateau avant d’aller boire une bière. Cette journée type au sein du Circus est une des choses que je préfère faire dans la vie.

photo d'un batteur à un concert du Circus
photo foule lors d'un concert au Circus<br />

T’as fait quoi pour en arriver là ?

Ecouter plus de 3000 albums de rock dans la discographie de mon père, lu toutes les biographies de groupes de rock que je pouvais, assister à un maximum de concerts, appris à jouer de la guitare et à chanter, rencontré un maximum de personnes qui partagent mes goûts et passions, séjourner à l’étranger pendant un an pour apprendre une langue et m’acclimater à une culture différente de la mienne.

J’ai aussi fait un licence en droit puis créé une association pour organiser le concert du groupe d’un de mes copains puis un autre puis je me suis rendu compte que mon envie de concerts live n’était pas assouvie par les acteurs culturels locaux et j’ai eu l’opportunité de reprendre le bail d’une salle qui se prêtait parfaitement à notre rêve de club culturel alternatif.

 

Un groupe (de chez toi ou d’ailleurs) que tu voudrais nous faire découvrir ?

Titanic Bombe Gas et The Twin Stoners sont les deux groupes qui ont commencé au début de l’aventure Circus.

Le premier est un groupe d’amis qui est dans la veine de O Sees et qui performent a 2 batteries, un beau mélange de psych surf punk délicieux et efficace.

Le second n’est autre que mon trio de stoner desert rock, ambiance Queens of the stone age.

La petite pépite portugaise que j’ai découverte en tournée : Solar Corona avec leur album Lightning One.

Ta radio indé préférée ?

J’anime 4 émissions de radio dans une radio associative qui s’appelle Wave Radio et qui est basée à Hossegor.

photo d'un chanteur guitariste à un concert au Circu

Pour suivre les actualités du Circus :

Pacap Orchestra • Back to the movies

PACAP ORCHESTRA

Collectif de co-construction d’actions artistiques et pédagogiques

Aujourd’hui Le Rayon vous présente le collectif PACAP qui a pour projet de mutualiser moyens et ressources entre les établissements d’enseignement musical municipaux et associatifs de l’agglomération bordelaise, afin de permettre la rencontre entre les élèves, les enseignants et les différentes pédagogies sur le territoire. En 2023, PACAP Orchestra a fait son come-back en proposant une 4ème édition intitulée « Back To the Movies ».

Nous remercions Marc du Mas de Paysac d’avoir pu enrichir notre propos 👌

LE COLLECTIF

Initié par l’Inconnue – Rock & Chanson (Talence) et avec le soutien du Conseil Départemental de la Gironde, le collectif PACAP qui se lança en 2008 est aujourd’hui composé de 13 structures, toutes localisées sur la Métropole bordelaise.

Les structures partenaires

👉 Écoles Municipales de Musique et de danse de Blanquefort, Saint-Médard-en-Jalles, Floirac, Talence, Villenave d’Ornon, Mérignac

👉 Écoles Associatives ABCS (Blanquefort), AALC (Ambarès et Lagrave), Do ré mi Favols (Carbon Blanc)

👉 Conservatoire de Musique de Gradignan

👉 La ville d’Ambarès et Lagrave

👉 Le CIAM (Centre Formation Professionnelle) de Bordeaux

👉 L’Inconnue – Association Rock & Chanson (SMAC) de Talence

Le Rayon du RIM Pacap Orchestra L'Inconnue

Depuis plus de 15 ans, le collectif a mis en place plus d’une cinquantaine d’actions collectives touchant plus de 9000 personnes (concerts, conférences, stages, scènes ouvertes, formations, sensibilisations) dont la création de spectacles originaux comme le PACAP Orchestra.

Le Rayon du RIM Pacap Orchestra L'Inconnue

LE PACAP ORCHESTRA

Soucieux de vouloir représenter les différentes esthétiques musicales du collectif, les structures membres ont imaginé en 2010 un projet de création orchestrale. L’objectif de ce projet mêlant classique et musiques actuelles trouve son origine dans le souhait de rassembler des élèves d’univers différents autour d’un répertoire réorchestré et réarrangé par un musicien professionnel.

La 4ème Édition : Back To the Movies

En 2023, la 4ème édition célébra les bandes originales les plus iconiques du 7ème art. Entre les musiques de Retour vers le futur, les classiques de Disney ou encore les plus grands titres de John Williams, près de 200 participants orchestrés par Manu Martin ont performés pour deux concerts sur la même journée devant plus de 1400 personnes.

Ce projet a pu être mené grâce au soutien financier du Département de la Gironde, des partenariats avec AudioPro, Captain Music et de l’appui matériel, financier, logistique et humain des villes et structures participantes au Collectif PACAP.

Noémie Sulpin · Rédactrice en chef de Tack Journal

Noémie, rédactrice en chef de Tack Journal

Le Rayon te propose de partir à la rencontre des passioné·e·s qui font vivre la musique en Nouvelle-Aquitaine. Entre circuit-court, développement de projets artistiques locaux et promotion des talents de la région, on t’invite à prendre le café avec les pros du microsillon.

Aujourd’hui Le Rayon te présente Noémie, rédactrice en chef de Tack Journal. C’est un mensuel culturel et artistique fait par une bande d’ami.e.s. Un journal bordelais qui se lit mais pas que puisqu’il se regarde aussi. Très visuel, l’équipe fait appel à des illustrateur.rice.s différent.e.s chaque mois pour imager leurs articles et couvertures. Nous les avons rencontrés lors de notre anniversaire à Rock & Chanson, on a voulu en savoir plus. Noémie nous partage son expérience.

Peux-tu te présenter ?

Bonjour, je m’appelle Noémie Sulpin, je suis étudiante en conception de projet numérique et narration transmédia à partir de septembre et je suis Rédactrice en chef et présidente de l’Association TACK depuis Janvier 2020. 

Tack-Journal-rayon-du-rim-réseau-musiques-actuelles-nouvelle-aquitaine

Tu peux nous en dire un peu plus sur Tack Journal ?

TACK est une jeune association émergente qui publie des journaux culturels et artistiques gratuitement tous les mois. Elle s’est créée suite à un rêve que j’ai réalisé à l’automne 2019 durant lequel je distribuais des journaux place de la Victoire. Encouragée par mon copain, j’ai lancé ce projet avec des ami.e.s. Le tout s’est ensuite plus largement étendu aux camarades de classe et aux passionnés d’arts et de culture. Nous sommes actuellement une trentaine de rédacteur.ice.s, illustrateur.ices et correcteur.ices à travailler sur ce journal. Notre nombre permet de diversifier notre contenu tous les mois en fonction des affinités avec les thématiques proposées. Nos journaux sont actuellement imprimés à 1000 numéros et nous souhaitons continuer de grandir tous les ans. Nous souhaitons également développer notre autofinancement pour commencer à financer nos artistes qui contribuent bénévolement aux pages. 

Où est-ce qu’on peut le trouver ?

Parmi nos objectifs à développer il y a aussi les points de distribution que nous voulons multiplier. Nous souhaitons investir de manière plus stable dans les établissements scolaires avec qui nous avons pu travailler (comme le lycée brémontier notamment), mais aussi les lieux culturels bordelais et partout en France. Pour le moment nous sommes disponibles aux galeries rue Buhan (Ekko galerie et le Lab Room), le cinéma indépendant l’Utopia, quelques petites boutiques qu’on trouve chouette comme le Shake That ( qui font de supers milkshake) et Spécimens rue  du Mirail. On est aussi présent dans les lieux associatifs et culturels de Talence (MJC, médiathèque) et la ville de Pessac est en cours de réflexion, mais devrait nous voir apparaître à la rentrée prochaine. Nous privilégions les distributions de main à main sur les campus de l’Université Bordeaux Montaigne et de l’Université de Bordeaux où les journaux partent très vite. 

Depuis Janvier nous sommes également sur le campus de la Sorbonne à Paris.

Tack-Journal-rayon-du-rim-réseau-musiques-actuelles-nouvelle-aquitaine
Tack-Journal-rayon-du-rim-réseau-musiques-actuelles-nouvelle-aquitaine
Tack-Journal-rayon-du-rim-réseau-musiques-actuelles-nouvelle-aquitaine

Comment faites-vous pour financer l’impression, la diffusion, etc… ? C’est important l’indépendance pour vous ?

Nous finançons nos impressions par plusieurs subventions publiques pour le moment. Nos débuts en tant qu’association étudiante ne nous permettez pas de contribuer financièrement dans notre projet. Nous sommes donc soutenu par le Crous de Bordeaux, l’Université Bordeaux Montaigne, la Région Nouvelle Aquitaine, l’Université de Bordeaux et les mairies de Talence et de Pessac. Cette troisième année de production nous permettra de fournir une part d’autofinancement plus conséquente. La gratuité nous tient très fortement à cœur, peut-être même plus encore que l’indépendance à ce jour. Jusqu’à lors nous n’avons jamais eu de retour sur notre contenu et avons été libres de produire nos journaux à notre guise. A terme il sera évidemment intéressant de rouler de nous même pour être totalement libéré des positionnement politique notamment.

Un conseil pour écrire un bon article ?

Je pense que chez nous ce qui prime c’est d’écrire sur ce qu’on aime et ce qu’on sait. Nous ne forçons personne à participer, chacun.e est libre de proposer du contenu ou non selon ses affections en lien avec les thèmes. Il faut bien évidemment faire attention aux informations qui sont véhiculées pour ne propager aucune mauvaise information et rester respectueux dans ses propos

Une chose à savoir lorsqu’on veut commencer son journal ?

C’est une activité qui demande une énergie très importante. Il faut savoir déléguer les tâches pour ne pas se retrouver submergé et ne plus apprécier son projet. J’ai développé ces journaux en équipe et j’ai longtemps été très attachée à son développement. Je travaillais pour mon association en parallèle d’une licence et d’un travail alimentaire. J’ai très vite été rattrapé par la fatigue physique et mentale. Cette année est beaucoup plus agréable parce qu’elle se joue en équipe. Entourez-vous bien et acceptez de partager. 

Tack-Journal-rayon-du-rim-réseau-musiques-actuelles-nouvelle-aquitaine

Quelle est ta première de couverture préférée ?

Ma couverture préférée a été réalisée par @shirleyfll (sur instagram) en septembre 2021. J’adore les couleurs et la composition.

Tack-Journal-rayon-du-rim-réseau-musiques-actuelles-nouvelle-aquitaine

Comment trouvez-vous les illustrateur.rice.s de vos couvertures ?

Les premiers artistes Tack’ins furent mes ami.e.s. Puis j’ai été au culot démarcher des artistes sur instagram. Et récemment on a la chance d’être contactés par les artistes intéressés. 

Vous avez fait un poster collaboratif à La Route du RIM, comment ça s’est passé ?

Nous avons eu l’honneur d’être convié à l’anniversaire du RIM et nous souhaitions proposer une activité en plus de nos habituels stands de journaux. Nous avons proposé une grande page d’expression sur le thème de juin Ultraviolet et les invités ont peu à peu réussi à se lâcher sur la feuille. On a tout de même eu à trier les participations pour garder les plus lisibles et les moins imbibés des festivités pour créer une composition aux tons violets. C’est la toute première fois qu’on propose cette activité et on trouve que c’était une expérience très chouette. On a pu développer une parole différente, tournée sur le contenu de nos journaux et sur leurs thématiques.

Tack-Journal-rayon-du-rim-réseau-musiques-actuelles-nouvelle-aquitaine

Quel est le meilleur conseil qu’on t’ait donné ?

C’est assez cliché dans un sens mais je crois que « réalise ton rêve » au sens littéral du terme a été à l’origine du projet le plus stimulant de ma vie. J’ai réellement découvert ce que je souhaitais faire de ma vie de grande personne au sein de cette association. Et dans un format plus large participer à un projet associatif est hyper formateur socialement et professionnellement. N’ayez pas peur de ce que vous aimez, c’est parfois le chemin le plus simple vers un avenir tout doux. 

Pour suivre l’actu de Tack Journal :

Pierre Lafitte · Président de l’association Moï Moï

Pierre, président de l’association Moï Moï

Le Rayon te propose de partir à la rencontre des passioné·e·s qui font vivre la musique en Nouvelle-Aquitaine. Entre circuit-court, développement de projets artistiques locaux et promotion des talents de la région, on t’invite à prendre le café avec les pros du microsillon.

Aujourd’hui Le Rayon te présente Pierre, président de l’association Moï Moï. Basée à Saint-Jean de Luz, tout part d’une bande d’amis avec l’envie de faire leurs propres événements. De là va naitre plusieurs choses comme le festival Baleapop, leur Web radio DIA ou encore, Udada leur prochain événement ces 14-15-16 juillet ! Pierre nous raconte.

Découvrez des photos de leurs événements :

Moï-Moï-rayon-du-rim-réseau-musiques-actuelles-nouvelle-aquitaine
Moï-Moï-rayon-du-rim-réseau-musiques-actuelles-nouvelle-aquitaine
Moï-Moï-rayon-du-rim-réseau-musiques-actuelles-nouvelle-aquitaine
Moï-Moï-rayon-du-rim-réseau-musiques-actuelles-nouvelle-aquitaine
Moï-Moï-rayon-du-rim-réseau-musiques-actuelles-nouvelle-aquitaine
Moï-Moï-rayon-du-rim-réseau-musiques-actuelles-nouvelle-aquitaine
Moï-Moï-rayon-du-rim-réseau-musiques-actuelles-nouvelle-aquitaine

Si tu veux rencontrer ce super collectif, ils seront les 14, 15 & 16 juillet à Saint-Jean de Luz pour leur nouvel événement Udada !

Suis leurs actus ici :

Didier Valdes · Coordinateur du XL Tour

Didier, Coordinateur du XL Tour

Le Rayon te propose de partir à la rencontre des passioné·e·s qui font vivre la musique en Nouvelle-Aquitaine. Entre circuit-court, développement de projets artistiques locaux et promotion des talents de la région, on t’invite à prendre le café avec les pros du microsillon.

Aujourd’hui Le Rayon te présente Didier, coordinateur du XL Tour. Créé en 2011 à l’initiative du Conseil départemental des Landes, le XL Tour est un dispositif d’accompagnement des musiciens landais dans le secteur des musiques actuelles. Didier en est le coordinateur et nous raconte le déroulé et les moments forts pour ces groupes participants !

Un peu plus sur le XL Tour et ses partenaires :

En 2022, le dispositif XLTour entame sa 6ème édition qui se déclinera sur les deux années à venir (de janvier 2022 à décembre 2023).

A ce jour, AMAC-le caféMusic (Mont de Marsan), Landes Musiques Amplifiées (St Vincent de Tyrosse), Musicalarue (Luxey), La Locomotive (Tarnos), Le Conservatoire des Landes, La Ville de Dax, Latitude Productions (Gamarde les bains), le RIM (Bordeaux) participent à ce dispositif.

Cette nouvelle édition a permis d’associer un nouveau partenaire « De La Neige en Eté » (Bordeaux) au processus de sélection et d’accompagnement » ainsi que le groupe « The Inspector Cluzo » dans un rôle de parrainage artistique très valorisant pour les groupes sélectionnés.

* Les enjeux et les objectifs du dispositif *

Les opérateurs intégrés dans le dispositif XL Tour, s’accordent sur les enjeux principaux qui guident leur action, les objectifs qui en découlent et le public visé :

  • Contribuer au développement des musiques actuelles dans le département des Landes.
  • Favoriser l’accès à l’émergence des groupes landais inscrits dans une logique de développement bien déterminée.
  • Aider au développement de leur projet, en s’adaptant à leur parcours et à leurs ambitions.
  • Proposer un accompagnement personnalisé, selon les besoins identifiés conjointement.

Découvre les 4 vainqueurs du XL Tour #6

XL-Tour-rayon-du-rim-réseau-musiques-actuelles-nouvelle-aquitaine
XL-Tour-rayon-du-rim-réseau-musiques-actuelles-nouvelle-aquitaine
XL-Tour-rayon-du-rim-réseau-musiques-actuelles-nouvelle-aquitaine
XL-Tour-rayon-du-rim-réseau-musiques-actuelles-nouvelle-aquitaine

Psst ! Attends c’est pas fini, on a une surprise pour toi !

On a pu interviewer Bolzed, groupe de rap et un des lauréats de l’édition précédente. Ils nous racontent comment ces deux années d’accompagnement ce sont déroulés ! Tu peux retrouver l’interview ici !